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Shubh annonce une tournée des arènes, alors que « Supreme » fait ses débuts au Billboard Canadian Hot 100

Josh Ross fait également son entrée dans le classement avec « Hate How You Look », qui débute en 79e position.

Shubh

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Photo de courtoisie

Shubh fait des progrès sur scène et dans les classements.

Le rappeur canadien punjabi de Brampton a une nouvelle entrée dans le classement Billboard Canadian Hot 100 daté du 3 mai, avec le single « Supreme » débutant au n° 54.


Parallèlement, il évoque une possible tournée des arènes. Lundi 28 avril, il a publié quatre lieux de spectacle sur sa story Instagram : la Scotiabank Arena à Toronto ; la Rogers Arena à Vancouver ; l'Oakland Arena à Oakland, en Californie ; et le Prudential Center dans le New Jersey. Aucune date n'a encore été annoncée pour ces salles, mais ce serait un exploit pour un artiste aussi jeune dans sa carrière.

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« Supreme » est un tout nouveau single, qui fait suite à la sortie de l'album complet de Shubh, Sicario, en janvier. Cet album a débuté à la 24e place du classement Billboard des albums canadiens, et Shubh le poursuit déjà avec l'instrumental sombre et le flow fluide qu'il emprunte sur « Supreme ».

Il s’est fait remarquer l’an dernier avec « King Shit », un titre qui a atteint la 13e place du classement Canadian Hot 100. En parallèle de sa carrière musicale, il s’investit aussi dans des causes globales, notamment en tant qu’ambassadeur mondial de la bibliothèque numérique sur le climat, initiée par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.

Alors que la musique punjabi séduit de plus en plus au Canada comme à l’international — les commentaires sous la vidéo de « Supreme » viennent aussi bien des États-Unis que du Ghana —, Shubh ne semble qu’au tout début de son parcours.

La révélation country canadienne Josh Ross signe également une nouvelle entrée au classement cette semaine. Son tout nouveau single, « Hate How You Look », fait ses débuts à la 79e place, rejoignant « Leave Me Too », qui progresse de la 63e à la 59e position. Ce dernier, véritable hymne de rupture, évoque avec justesse les signes annonciateurs d’un cœur qui tourne la page.

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Après avoir décroché cinq nominations aux derniers Juno Awards — et remporté celui de l’album country de l’année —, Ross s’impose comme l’un des nouveaux visages les plus prometteurs de la scène canadienne, aux côtés d’artistes comme Tate McRae et Cameron Whitcomb.

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En tête du classement cette semaine, Alex Warren signe une troisième semaine de succès avec « Ordinary », tandis que « Pink Pony Club » de Chappell Roan reste solidement installée en deuxième position. Aucun des deux titres ne figure toutefois dans le top 2 du Hot 100 américain, dominé par « Luther » de Kendrick Lamar, suivi de « Die With a Smile » par Lady Gaga et Bruno Mars — une nouvelle illustration des écarts persistants entre les deux classements. Cela dit, « Ordinary » a tout de même atteint la troisième place aux États-Unis, laissant présager une possible ascension jusqu’au sommet.

Consultez les graphiques complets ici.

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Rheostatics. Back L to R: Tim Vesely, Don Kerr, Kevin Hearn, Dave Bidini, Alex Lifeson Front L to R: Dave Clark, Hugh Marsh
Chris Wahl

Rhéostatique. De gauche à droite, au fond : Tim Vesely, Don Kerr, Kevin Hearn, Dave Bidini, Alex Lifeson. De gauche à droite, au premier plan : Dave Clark, Hugh Marsh.

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Alex Lifeson à propos de sa nouvelle musique avec Rheostatics : « Aucune règle, aucune attente »

Sur The Great Lakes Suite, ce collectif de musiciens d’exception accueille aussi Laurie Anderson et le regretté Gord Downie.

Il y a trente ans, la formation torontoise Rheostatics innovait avec « Music Inspired by the Group of Seven », une œuvre conceptuelle avant-gardiste commandée par le Musée des beaux-arts du Canada en hommage aux peintres paysagistes du début du XXᵉ siècle. Cette pièce abstraite et ambitieuse mêlait improvisation libre et extraits d’archives — dont des conversations enregistrées avec les artistes et avec des figures historiques comme la reine mère Élisabeth Iʳᵉ.

Depuis, une question revenait sans cesse, raconte Dave Bidini à Billboard : « On se demandait toujours : “Comment pourrait-on recréer quelque chose dans cet esprit ?” Puis un soir, littéralement la tête sur l’oreiller, j’ai pensé aux Grands Lacs. »

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