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Les artistes viraux sombr et MOLIY signent de belles percées dans le Billboard Canadian Hot 100

L’auteur-compositeur-interprète alternatif sombr place deux titres en progression dans les classements, tandis que le tube TikTok de l’artiste ghanéenne MOLIY, « Shake It To The Max (FLY) », atteint un nouveau sommet.

sombr

sombre

Bryce Glenn

Sombr grimpe dans le classement Canadian Hot 100.

Le titre « Back To Friends » de sombr, auteur-compositeur-interprète new-yorkais de 19 ans, poursuit son ascension : il atteint cette semaine la 33e place du Canadian Hot 100 daté du 7 juin, gagnant dix rangs par rapport à la semaine précédente.


Ce morceau indie au ton brumeux explore la tension émotionnelle qui naît lorsqu’une amitié se transforme en relation intime. Véritable phénomène sur TikTok, sombr cumule des millions de vues avec ses vidéos. « Back To Friends » ne fait pas exception : le clip le plus populaire, centré sur le refrain, approche les 10 millions de vues, tandis que plusieurs autres déclinaisons ont déjà franchi le cap du million.

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Sa progression dans les classements témoigne d’un engouement grandissant, renforcé par une performance remarquée de « Back To Friends » dans The Tonight Show Starring Jimmy Fallon le mois dernier.

« Back To Friends » fait suite au succès comparable de « Undressed », un autre titre de sombr présent dans les classements cette semaine. Il atteint un nouveau sommet à la 27e place, après avoir fait son entrée dans le top 30 la semaine dernière à la 29e position. Ce morceau indie pop était déjà en voie de devenir un succès avant même sa sortie, un extrait partagé sur TikTok ayant cumulé 15 millions de vues.

Et sombr n’est pas le seul artiste viral à grimper dans les classements canadiens. MOLIY enregistre également une forte progression cette semaine : son titre « Shake It To The Max (FLY) », en collaboration avec le producteur Silent Addy, passe de la 46e à la 32e place, atteignant ainsi son meilleur classement à ce jour, tout près du top 30. Ce morceau dancehall ne cesse de gagner en popularité, notamment grâce à son remix avec Skillibeng et Shenseea, entré dans le Canadian Hot 100en avril à la 75e position.

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Plusieurs titres font leur entrée dans le Canadian Hot 100 cette semaine. Alex Warren et Jelly Roll signent la meilleure arrivée avec « Bloodline », qui débute à la 17e place. Warren conserve également la tête du classement avec « Ordinary », qui atteint pour la première fois la première place du Hot 100 américain cette semaine.

Parmi les autres nouveautés, on retrouve « Cliche » de mgk (32e), « Why » de Jon Bellion et Luke Combs (70e), « Momma Song » de Benson Boone (78e), « Bad As I Used To Be » de Chris Stapleton (93e) et « One Thing » de Lola Young (94e).

Découvrez le classement complet du Canadian Hot 100 ici, et tous les classements de Billboard Canadaici.

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Gurinder Gill photographed in Toronto in June 2025 by Bryan Egan.

Gurinder Gill photographiée à Toronto en juin 2025 par Bryan Egan.

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Gurinder Gill revient sous les projecteurs

Après plusieurs années loin de la scène, l’artiste punjabi installé en Colombie-Britannique fait son retour au NXNE, réfléchissant à son parcours en tant qu’artiste indépendant — et laissant entrevoir de grands projets à venir.

Gurinder Gill est de retour.

La star punjabi originaire de la Colombie-Britannique a marqué son retour sur scène au festival NXNE, lors de l’événement de lancement de Dhamaka, la nouvelle chaîne musicale sud-asiatique de SiriusXM — la toute première plateforme radiophonique grand public au Canada consacrée aux sons d’Asie du Sud.

Quand Gill est monté sur la scène de l’El Mocambo, dans le cadre d’une soirée présentée par Billboard Canada, cela faisait deux ans qu’il ne s’était pas produit en concert. Aucune explication dramatique : il n’avait tout simplement pas joué. Ce qui rendait ce retour d’autant plus marquant.

« L’énergie était là », raconte-t-il. « Les fans attendaient mon retour. L’amour était sincère. »

Ce retour lui a permis de ressentir pleinement l’affection de son public — et de constater la force de la communauté que sa scène a contribué à bâtir. Voir un public diversifié faire la fête ensemble était exactement le type d’espace dont il aurait rêvé à ses débuts.

« Plutôt que d’avoir des plateformes distinctes pour chaque communauté, on pourrait en créer une qui rassemble toutes les cultures », explique-t-il.
« On voit déjà des gens issus d’un même secteur collaborer avec la scène punjabi. C’est précieux. Quand des talents d’horizons culturels et créatifs différents se rencontrent, il n’en ressort que du positif. »

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