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Michael Bublé prolonge son record : « Christmas » domine les palmarès canadiens pour une dixième année consécutive

L’album classique des fêtes de Michael Bublé, paru en 2011, a pris la tête du palmarès Billboard des albums canadiens en 2011, 2012, puis de nouveau chaque année de 2019 à 2026, prolongeant ainsi une domination exceptionnelle sur plus d’une décennie.

Michael Bublé

Michael Bublé

Photo de courtoisie

MISE À JOUR (30/12) — L’album Christmas de Michael Bublé retrouve la première place du palmarès des albums canadiens de Billboard à la date du 3 janvier 2026. Avec ce nouveau sommet en 2025 et 2026, l’album porte à dix le nombre d’années civiles où il a dominé le classement : 2011, 2012, puis de 2019 à 2026 sans interruption.

Christmas en est désormais à sa 103e semaine au palmarès et à sa 19e semaine au total en tête du classement. Pour Michael Bublé, c’est — encore une fois — un joyeux Noël.


Article original :

C’est toujours un joyeux Noël pour Michael Bublé.

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L’album de Noël paru en 2011 du chanteur canadien est revenu au sommet du palmarès des albums canadiens de Billboard pour la semaine du 27 décembre 2025, détrônant The Life of a Showgirl de Taylor Swift, qui occupait la première place depuis dix semaines.

Cette nouvelle première position renforce le record de Bublé pour le plus grand nombre d’années civiles distinctes passées au sommet du classement. Avant la mise à jour de 2026, Christmas avait déjà dominé les palmarès en 2011, 2012, puis chaque année de 2019 à 2025 — soit neuf années civiles, dont sept consécutives.

À ce moment-là, l’album totalisait 18 semaines cumulées en tête du classement et 102 semaines au total dans le palmarès.

En parallèle, Michael Bublé s’est classé au 7e rang du tout premier palmarès annuel des meilleurs artistes canadiens de 2025, qui combine les données du Billboard Canadian Hot 100 et du palmarès des albums canadiens. Le succès durable de son catalogue, porté notamment par Christmas, explique largement ce résultat. Avec plus de 16 millions d’exemplaires physiques vendus à l’échelle mondiale et des milliards d’écoutes en streaming, l’album est considéré par sa maison de disques, Reprise, comme l’album de Noël le plus vendu du XXIe siècle.

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Plus tôt ce mois-ci, Bublé a d’ailleurs interprété Christmas au Vatican, devant un public comprenant le pape Léon XIV, dans le cadre du Concert avec les pauvres.

Les classiques des fêtes dominent les palmarès

Les chansons de Noël envahissent également le Billboard Canadian Hot 100 en cette dernière semaine de l’année. Pour la semaine du 27 décembre, « All I Want for Christmas Is You » de Mariah Carey a détrôné « The Fate of Ophelia » de Taylor Swift, qui menait le classement depuis dix semaines. Le titre de Carey est aussi numéro un aux États-Unis, où il établit un nouveau record de semaines passées en tête (au Canada, ce record demeure détenu par Shaboozey).

Au Canada, « The Fate of Ophelia » recule au quatrième rang, derrière « Last Christmas » et « Rockin’ Around the Christmas Tree ».

Michael Bublé figure également au Hot 100 canadien avec « It’s Beginning to Look a Lot Like Christmas » en sixième position et « Holly Jolly Christmas » au 17e rang, tandis que « Mistletoe » de Justin Bieber grimpe à la 21e place.

Parmi les nouveautés hors saison, 21 Savage et Drake font leur entrée avec « Mr Recoup » en 44e position. Le nouvel album de 21 Savage, What Happened To The Streets?, débute quant à lui au 12e rang du palmarès des albums canadiens.

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Retrouvez ici tous les palmarès de Billboard Canada.

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Max Kerman playing with Arkells in Niagara Falls, Ontario, on Dec. 18, 2025.
Véronique Giguère

Max Kerman jouant avec Arkells à Niagara Falls, en Ontario, le 18 décembre 2025.

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Résolution pour 2026 : remettre l’humain au cœur de la musique (Tribune libre)

Dans une année où il lui était difficile de trouver sa voie, Max Kerman, du groupe Arkells, a retrouvé un sens à sa vie à travers les interactions humaines. Son message est clair : n’oublions pas les gens — les technicien·ne·s, le public, tout cet écosystème invisible — sans lesquels ce que nous aimons ne pourrait tout simplement pas exister.

J’ai toujours éprouvé une certaine méfiance à l’idée d’accorder trop d’importance à l’art, de manière générale. Ce n’est pas un besoin fondamental. Je crois que cet instinct me vient de ma mère — ce réflexe du « n’allons pas trop loin », toujours teinté d’une légère suspicion dès que les choses devenaient trop laudatives ou flatteuses.

Mais cet instinct porte aussi une forme de générosité. Il rappelle qu’il ne faut pas oublier les gens — les techniciens, le public, tout l’écosystème invisible — sans lesquels les choses que nous aimons n’existeraient tout simplement pas.

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