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Le rappeur égyptien Wegz raconte ce qu'il préfère de l'argot local

L'artiste était récemment à Toronto pour sa tournée mondiale et a rencontré Billboard Canada pour répondre à quelques questions.

Wegz

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Daniel Victor Louis

La superstar égyptienne Wegz a donné le coup d'envoi de la partie nord-américaine de sa tournée mondiale au History à Toronto le 25 octobre. Il a enchaîné avec un autre spectacle à Montréal, au Théâtre Beanfield, le 26 octobre. Le rappeur, qui était l'artiste égyptien le plus écouté en 2022 et dont la chanson «ElBakht» est actuellement n°25 sur le Billboard Arabic Hot 100 — a pour mission de faire évoluer le rap égyptien en dehors de son pays natal.

Bien que Wegz n’ait pas encore sorti d’album studio complet, son nom est bien connu dans tout le Moyen-Orient et il continue de faire des vagues au-delà des frontières. Il est devenu célèbre après la sortie de son single «Dorak Gai» en 2020, qui compte actuellement 117 millions de vues sur YouTube. «ElBakht» reste l'une des chansons les plus écoutées en Égypte près de deux ans après sa sortie.


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La tournée de Wegz a débuté en Europe en septembre dernier, faisant de lui le premier artiste arabe à effectuer une tournée mondiale soutenue par Live Nation. Il s'est assuré de montrer un peu d'amour à RamRiddlz, un rappeur canado-égyptien originaire de Toronto, en lui faisant ouvrir les deux spectacles canadiens.

Connu pour ses paroles poétiques et percutantes, Wegz connaît bien le pouvoir du langage. Billboard Canada a donc récemment rencontré Wegz et lui a demandé de partager certains de ses expression d'argot égyptien préférées.

Regardez la vidéo ci-dessous:

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Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
Rafal Gerszak
Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
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Syndrome de l'intermédiaire inutile : l’enjeu des droits voisins au Canada (Chronique d’invité)

Ce qui avait commencé comme une simple enquête sur la baisse des redevances de mon label s’est transformé en une révélation sur l’ampleur des dysfonctionnements dans la collecte des droits voisins – un problème parmi tant d’autres dans l’industrie musicale.

L’industrie musicale canadienne est gangrenée. Minée par les conflits d’intérêts, les transactions douteuses, la cupidité des grandes maisons de disques et, plus inquiétant encore, par un virus que j’appelle le syndrome de l’intermédiaire inutile (« SIA »).

Le SIA désigne ces entités de l’industrie musicale qui perçoivent des revenus sans justification réelle, simplement parce qu’elles en ont le pouvoir.

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