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Amanda Kingsland et Shawn Marino prennent la tête du recrutement artistique chez Universal Music Canada

Les deux dirigeants prendront la tête d’une équipe dédiée au développement des talents, ayant contribué à révéler d’importants artistes canadiens tels que Josh Ross, Owen Riegling et Preston Pablo.

Universal Music Canada’s A&R team (L – R): Phil Hotz, Lisa Lorenz, Ivan Evidente, Don Kitchen, Morgan “MJ” James, Shawn Marino, Amanda Kingsland, Widney Bonfils, Shirley Ichkhanian, Kwaku Agyemang, Natassha Cuachon-Cruz; seated: UMC President & CEO, Julie Adam, Shannen Serrano

L'équipe A&R d'Universal Music Canada (de gauche à droite) : Phil Hotz, Lisa Lorenz, Ivan Evidente, Don Kitchen, Morgan « MJ » James, Shawn Marino, Amanda Kingsland, Widney Bonfils, Shirley Ichkhanian, Kwaku Agyemang, Natassha Cuachon-Cruz ; assis : Présidente et directrice générale de l'UMC, Julie Adam, Shannen Serrano

Photo de courtoisie

Universal Music Canada (UMC) renforce son équipe de développement des talents en annonçant la nomination d'Amanda Kingsland et Shawn Marino en tant que codirecteurs A&R.

Kingsland accède à un nouveau poste de vice-présidente, A&R, et collaborera avec Marino, vice-président, A&R Operations, pour piloter l'équipe.


Cette annonce intervient peu après la récente nomination de Julie Adam au poste de présidente-directrice générale d'UMC, en remplacement de Jeffrey Remedios.

Selon UMC, Kingsland et Marino auront pour mission de recruter et de développer de nouveaux talents. Kingsland, qui a déjà supervisé la restructuration du département country d'UMC — révélant des artistes majeurs tels que Josh Ross (en tête des nominations aux Juno Awards de ce week-end) et Owen Riegling —, élargira désormais son champ d’action à la stratégie globale de l’ensemble du catalogue d’UMC.

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De son côté, Marino continuera de superviser les studios d’enregistrement 80A Studios, l’espace de représentation The Academy, et d’accompagner des artistes comme The Tragically Hip et Anne Murray dans la revitalisation de leurs catalogues.

Les deux dirigeants relèveront directement de Julie Adam et sont activement à la recherche de nouveaux talents.

Shawn Marino and Amanda KingslandShawn Marino et Amanda Kingsland

« Notre équipe A&R, leader du secteur, est au cœur de notre mission de repérage, de développement et d’accompagnement des artistes, » explique Adam. « Ce sont des dénicheurs de talents, des experts en genres musicaux qui identifient, recrutent et façonnent les artistes, tout en apportant leurs solides connexions internationales, leur sens musical affûté et leur expertise à une large gamme de projets. Je suis ravie qu’Amanda et Shawn dirigent les efforts A&R depuis le Canada, alors que nous continuons à soutenir, promouvoir et investir dans des voix artistiques. »

En plus de Ross et Riegling, UMC compte parmi ses artistes phares le chanteur pop Preston Pablo, le groupe de rock Valley et l’humoriste devenue auteure-compositrice-interprète Mae Martin, tous actuellement en tête des classements radiophoniques canadiens. UMC a également récemment signé avec AP Dhillon, figure emblématique de la Punjabi Wave, en partenariat avec Republic Records.

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L’équipe A&R d’UMC est complétée par Kwaku Agyemang, Widney Bonfils, Natassha Cuachon-Cruz, Ivan Evidente, Morgan « MJ » James, Shirley Ichkhanian et Shannen Serrano, avec le soutien de l’équipe des studios et salles de concert d’UMC : Don Kitchen, Lisa Lorenz et l’ingénieur du son Phil Hotz.

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Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
Rafal Gerszak
Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
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Syndrome de l'intermédiaire inutile : l’enjeu des droits voisins au Canada (Chronique d’invité)

Ce qui avait commencé comme une simple enquête sur la baisse des redevances de mon label s’est transformé en une révélation sur l’ampleur des dysfonctionnements dans la collecte des droits voisins – un problème parmi tant d’autres dans l’industrie musicale.

L’industrie musicale canadienne est gangrenée. Minée par les conflits d’intérêts, les transactions douteuses, la cupidité des grandes maisons de disques et, plus inquiétant encore, par un virus que j’appelle le syndrome de l’intermédiaire inutile (« SIA »).

Le SIA désigne ces entités de l’industrie musicale qui perçoivent des revenus sans justification réelle, simplement parce qu’elles en ont le pouvoir.

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