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Drake et Chris Brown feraient l'objet d'un autre procès pour violation de droits d'auteur concernant le tube de 2019 « No Guidance »

Après qu'une autre procédure a été abandonnée il y a deux ans, une nouvelle plainte allègue que la chanson viole les droits d'auteur de la chanson « I Got It » de Tykeiya (2016).

Drake and Chris Brown in the 'No Guidance' video

Drake et Chris Brown dans le clip de « No Guidance »

YouTube

Drake pourrait avoir besoin de conseils dans le cadre d'un nouveau procès. La superstar canadienne est citée dans un procès aux côtés de Chris Brown, alléguant que leur tube de 2019 « No Guidance » copie un titre de 2016, « I Got It » de Tykeiya, comme l'a rapporté Music Business Worldwide. « No Guidance » a atteint la cinquième place du Billboard Hot 100 et s'est classé en tête de plusieurs classements tels que Hot R&B Songs et R&B/Hip-hop Airplay, tout en dépassant le milliard d'écoutes sur Spotify.

Les chanteurs ont déjà fait l'objet d'un procès qui a été abandonné en 2022, mais la nouvelle plainte provient d'autres parties. Tykeiya Dore et Marc Stephens poursuivent Drake, Brown et les autres auteurs de la chanson (Nija Charles, Michee Lebrun et Tyler Bryant) et producteurs (Anderson Hernandez, Joshua Huizar, Teddy Walton et Noah Shebib).


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La plainte, déposée auprès du tribunal fédéral de district du New Jersey, est publiée dans son intégralité sur le site de Music Business Worldwide. Elle affirme que les auteurs ont repris l'accroche de la chanson « I Got It » de Tykeiya et ont changé les paroles de « I got it » à « you got it ». En outre, les plaignants affirment que l'oncle de Dore, Jesse Spruils, a envoyé « I Got It » à l'un des auteurs de « No Guidance », Nija Charles, et que Spruils a confronté Charles après la sortie de « No Guidance » au sujet des similitudes, et que Charles l'a bloqué sur les médias sociaux.

Dore et Stephens demandent 5 millions de dollars de dommages et intérêts. Le procès cite également YouTube comme défendeur, accusant la société de diffamation à l'égard de M. Stephens. Ce dernier affirme avoir déposé des demandes de retrait de « No Guidance » et que YouTube a réagi en qualifiant de frauduleuses les affirmations de M. Stephens, supprimant finalement sa chaîne (celle-ci a été rétablie par la suite).

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« Il est impossible de ne pas entendre que les deux chansons sont substantiellement similaires », peut-on lire dans l'action en justice.

Écoutez vous-même « No Guidance » et « I Got It » de Tykeiya ci-dessous :

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Gurinder Gill photographed in Toronto in June 2025 by Bryan Egan.

Gurinder Gill photographiée à Toronto en juin 2025 par Bryan Egan.

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Gurinder Gill revient sous les projecteurs

Après plusieurs années loin de la scène, l’artiste punjabi installé en Colombie-Britannique fait son retour au NXNE, réfléchissant à son parcours en tant qu’artiste indépendant — et laissant entrevoir de grands projets à venir.

Gurinder Gill est de retour.

La star punjabi originaire de la Colombie-Britannique a marqué son retour sur scène au festival NXNE, lors de l’événement de lancement de Dhamaka, la nouvelle chaîne musicale sud-asiatique de SiriusXM — la toute première plateforme radiophonique grand public au Canada consacrée aux sons d’Asie du Sud.

Quand Gill est monté sur la scène de l’El Mocambo, dans le cadre d’une soirée présentée par Billboard Canada, cela faisait deux ans qu’il ne s’était pas produit en concert. Aucune explication dramatique : il n’avait tout simplement pas joué. Ce qui rendait ce retour d’autant plus marquant.

« L’énergie était là », raconte-t-il. « Les fans attendaient mon retour. L’amour était sincère. »

Ce retour lui a permis de ressentir pleinement l’affection de son public — et de constater la force de la communauté que sa scène a contribué à bâtir. Voir un public diversifié faire la fête ensemble était exactement le type d’espace dont il aurait rêvé à ses débuts.

« Plutôt que d’avoir des plateformes distinctes pour chaque communauté, on pourrait en créer une qui rassemble toutes les cultures », explique-t-il.
« On voit déjà des gens issus d’un même secteur collaborer avec la scène punjabi. C’est précieux. Quand des talents d’horizons culturels et créatifs différents se rencontrent, il n’en ressort que du positif. »

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