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Osheaga accueille Olivia Rodrigo, Tyler, The Creator, The Killers, Gracie Abrams, Doechii et plus encore pour l'édition de 2025

L'une des plus grandes célébrations musicales estivales au Canada reviendra cette année pour sa 18e édition avec des artistes tels que Shaboozey, Lucy Dacus, Jamie xx, The Beaches, Gigi Perez, FINNEAS et bien plus encore.

Olivia Rodrigo

Olivia Rodrigo

Disques Geffen

Olivia Rodrigo fera ses débuts à Osheaga cette année, clôturant ainsi la 18e édition du festival.

La superstar de la génération Z sera en tête d’affiche de ce grand événement musical aux côtés de The Killers et Tyler, The Creator.


Cette programmation suit la formule de l’année dernière, avec deux têtes d’affiche solo contemporaines — SZA et Noah Kahan — ainsi qu'un groupe de rock emblématique. Elle attirera sans aucun doute des milliers de festivaliers sur les terrains du parc Jean-Drapeau cet été, du 1er au 3 août 2025.

Tyler, The Creator se produira à guichets fermés au Centre Bell le 22 juillet lors de sa tournée mondiale Chromakopia, et Osheaga le ramènera à Montréal une semaine plus tard, à l’instar de Dua Lipa il y a deux ans.

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Parmi les artistes annoncés aujourd'hui, on retrouve également la récente lauréate d’un Grammy, Doechii, la « princesse des marais » de Floride, dont l'album Alligator Bites Never Heal a remporté le prix du meilleur album rap cette année. Sa performance aux Grammys l’a consacrée comme l'une des meilleures artistes live du moment.

Osheaga était déjà en discussions pour réserver Doechii avant qu'elle ne connaisse l’ampleur de son ascension, ce qui signifie que, tout comme l'année dernière avec la percée de Chappell Roan, elle pourrait se produire plus tôt que prévu dans la programmation.

Le retour d'artistes à Osheaga au fur et à mesure que leur notoriété grandit est une stratégie clé pour le festival, et cette année, c'est au tour de Gracie Abrams. L'auteure-compositrice-interprète s'était produite tôt sur la scène principale en 2022, et après avoir assuré la première partie de Taylor Swift et décroché un tube numéro 1 au Billboard Canadian Hot 100, elle revient cette fois parmi les têtes d’affiche.

Shaboozey, quant à lui, se produira également sur la scène d'Osheaga, devenant ainsi le premier artiste à se produire à la fois au festival et à LASSO, le festival de musique country de Montréal également organisé par Evenko au parc Jean-Drapeau. Le chanteur de Virginie n’est pas étranger à l’histoire, après avoir atteint la première place du Billboard Canadian Hot 100 avec « A Bar Song (Tipsy) ».

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Parmi les autres artistes émergents canadiens figurent Ekkstasy, Aqyila, et Ruby Waters, récemment nommée aux Juno, ainsi que Rau_Ze, Hologramme, bbno$, Bibi Club, et bien d'autres.

Un autre retour notable est celui de Chappell Roan, qui a fait une percée l’année dernière. Osheaga avait déjà repéré cette artiste avant son explosion sur la scène musicale, et il est possible qu'elle se produise plus tôt dans la programmation en raison de son succès croissant.

Enfin, la programmation d’Osheaga continue de surprendre avec des artistes tels que FINNEAS, Dominic Fike, Cage The Elephant, Glass Animals, Jorja Smith et Jamie xx.

Voici la programmation complète du festival :

Au total, 87 artistes ont été annoncés, dont les trois quarts se produiront pour la première fois à Osheaga. Parmi eux, 21 sont canadiens.

Les billets pour les trois jours du festival seront mis en vente dès ce vendredi (21 février). Plus d'informations ici .

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Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
Rafal Gerszak
Jonathan Simkin, president and co-founder of 604 Records
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Syndrome de l'intermédiaire inutile : l’enjeu des droits voisins au Canada (Chronique d’invité)

Ce qui avait commencé comme une simple enquête sur la baisse des redevances de mon label s’est transformé en une révélation sur l’ampleur des dysfonctionnements dans la collecte des droits voisins – un problème parmi tant d’autres dans l’industrie musicale.

L’industrie musicale canadienne est gangrenée. Minée par les conflits d’intérêts, les transactions douteuses, la cupidité des grandes maisons de disques et, plus inquiétant encore, par un virus que j’appelle le syndrome de l’intermédiaire inutile (« SIA »).

Le SIA désigne ces entités de l’industrie musicale qui perçoivent des revenus sans justification réelle, simplement parce qu’elles en ont le pouvoir.

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